L’inscription d’un patrimoine culturel immatériel sur la liste représentative de l’UNESCO engage l’Etat partie ayant ratifié la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel à « s’efforcer d’assurer la plus large participation possible des communautés, des groupes et, le cas échéant, des individus qui créent, entretiennent et transmettent ce patrimoine, et de les impliquer activement dans sa gestion »[1]
Pour l’équitation de tradition française, la démonstration de l’ampleur de sa communauté est un enjeu particulier depuis sa reconnaissance par l’UNESCO qui a émis le souhait que ce patrimoine « ne se résume ni à une simple pratique sportive, ni à une pratique élitiste » [2]